C’est un des sujets fondamentaux de la vie en van et plus globalement de la vie nomade.

POUR COMMENCER
Ce sujet de l’accès à l’eau m’a beaucoup inquiété dans les premières années de ma vie nomade : parce qu’il s’agit d’une ressource fondamentale et aussi parce que j’avais fait le choix de ne pas dépendre des campings et des aires, afin d’approcher une autonomie maximum.

Choix dont je me réjouis aujourd’hui car il m’offre une liberté vraiment goûteuse ! 💦

DES CONTRAINTES EN RAPPORT AVEC LES SAISONS
J’ai découvert que l’hiver seulement certains accès à l’eau restent opérationnels.
Que l’été les cours d’eau sont très souvent trop pollués pour être utiles.
Que récupérer l’eau de pluie, se servir dans les torrents, aller au cimetière, fréquenter les parcs pour enfants, font partie des solutions pratiques, mais qu’il s’agit surtout de savoir repérer et utiliser les ressources disponibles au bon moment.

Ainsi que s’équiper de façon adéquate pour conserver l’eau et la potabiliser.

Et bien sûr diminuer sa consommation de façon joyeuse parce que sensée et équilibrée.

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES INTERNES
J’ai fait l’acquisition d’un radar interne aux ressources en eau et depuis une dizaine d’année ce n’est plus un sujet d’inquiétude pour moi, juste un des domaines dont j’ai plaisir à m’occuper.
Une occasion de faire du sport, qui en plus, a du sens : le transport de bidons c’est très en vogue dans le fitness outdoor ! 😄

Et aussi l’occasion de découvrir de nouveaux paradis, sur le chemin de la source… ⛲😊

DU SENS POUR LA JOIE…
Aujourd’hui ma gestion et ma consommation d’eau sont en accord avec mes valeurs de préservation de la Vie en moi et autour de moi.
Et ça aussi c’est joyeux !

Avec la Vie et avec joie,
Aline

C’est un des sujets sur lesquels nous échangerons lors de la Rencontre des Voyag’heureuses.

Au plaisir ! 😊💦⛲🩵